


Pour avoir alerté sur nos conditions de travail : COUPABLES
Pour s’être élevé contre le sombre avenir de notre profession : COUPABLES
Pour avoir voulu améliorer notre sécurité, nos salaires et nos vies : COUPABLES
Pour avoir fait connaître à l’ensemble de la population française le mal être des prisons : COUPABLES
Voici ce que nous sommes aux yeux des hautes sphères :
Une chaire à canon qui doit se taire quand notre profession se meure !